Fourre tout,
Pour gentleman,
Pour rêveur doux, 
Pour businessman.
Quelle étrange affaire,
Que ces expressions,
Affaire à, à faire,
Sans oublier, non,
Toutes ces affaires.

Un ami, à faire ?
Souvent là, 
Quand nous échappe, 
Le verbe adéquat,
Ou telle une étape,
Pour faire parvenir,
Ou faire un envoi.

Et que dire,
De ce débat, 
À faire, affaire à.
Comment s’y retrouver,
Avec ces faux amis, avouez.

Un indice, je me déplace aussi,

Tout en rondeur, chapeauté,
Magique « à » nommé.
Seul avec mon chapeau, ainsi, 
Je précède, j’ai à faire.
Point de à, ne suit,
Il m’encombrerait, 
Car je réalise, j’agis,
« J’ai à faire. »

Toujours chapeauté,
En effet placé après,
Je m’interpose, 
J’affronte, j’ose, 
Moi le « à », et deviens,
En un tour de main,
« Affaire à. » Me voici,
Le petit rond chapeauté,
Après, entre toi et autrui,
Faire, se pare alors,
Pour devenir plus fort,
Deux de « f », d’un « a »
Liés, entre moi et toi,
« J’ai affaire à ».

Protégé par mon bouclier,
Pour faire face, affronter,
Et ainsi avoir affaire à.
Quiconque, avec moi, « à »
Le petit rond chapeauté. 

Que dire d’affaire, ou affaires ? 
Quand « chiffre », s’impose,
Le petit rond chapeauté,
S’efface alors, et explosent,
Les $ pour gentleman, 
Et habiller ainsi affaires,
Transformer pour businessman,
Qui décomptent, comptent,
Des affaires, des affaires,
Des chiffres, que content, 
Les chiffres d’affaire$,

Quelle affaire, 
Diriez-vous,
À ceux qui s’affairent,
Gentleman ou rêveur doux.