Durant tout le mois de décembre, nous avons partagé chaque jour une lettre de notre abécédaire, avec des compétences, des attitudes et des savoir-faire essentiels pour les métiers du secrétariat, de l’assistanat et de l’office management.
Ces 24 clés sont autant de pistes pour valoriser votre rôle, développer vos expertises et rayonner dans votre profession.
Cet abécédaire est bien plus qu’un calendrier : c’est une source d’inspiration pour continuer à apprendre, à évoluer et à affirmer la place stratégique de nos métiers dans les organisations.
Découvrez ou redécouvrez l’intégralité des publications ci-dessous, de A à Z, et partagez celles qui vous parlent le plus !
Ensemble, faisons briller nos compétences et notre profession.
A comme Agilité
L’agilité est bien plus qu’une compétence : c’est une posture, un moteur, une manière d’habiter son rôle. Elle permet de naviguer dans un environnement mouvant, d’ajuster ses priorités et de créer de la fluidité autour de soi.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix, sa posture, c’est la capacité à passer d’un dossier à l’autre, à absorber les imprévus, à maintenir qualité et rigueur même lorsque le rythme s’accélère. C’est l’art de rebondir et ajuster ses priorités sans perdre le sens.
Comment cette valeur ou compétence se manifeste dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
L’agilité d’un·e assistant·e irrigue toute l’organisation : échanges fluidifiés, besoins anticipés et acteurs reliés.
C’est agir comme un point d’ancrage pour les équipes : organiser, synchroniser, absorber la complexité, créer des passerelles. L’agilité devient alors un levier de stabilité collective.
Cette notion s’inscrit dans la transformation du métier, la digitalisation, la place du métier dans le monde du travail.
Ainsi, à l’échelle du métier, l’agilité symbolise la capacité de la profession à se réinventer, à devenir actrice du changement.
Il s’agit de comprendre la dynamique des organisations, anticiper les transformations, soutenir les orientations stratégiques et contribuer à une culture de collaboration durable. Ici, l’agilité devient impact.
Formulation marquante :
« Être agile, c’est transformer chaque mouvement du quotidien en élan positif pour soi, pour l’équipe, pour l’organisation. »*
En attendant la lettre B, pour vous, que signifie l’agilité dans votre pratique ou votre organisation ?
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B comme Bienveillance
La bienveillance n’est pas un simple trait de caractère : c’est une manière de regarder, d’accueillir et de faire grandir les relations professionnelles. Elle crée un environnement où chacun peut évoluer, contribuer et trouver sa place.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix, il s’agit de prendre soin de son propre équilibre, d’adopter un dialogue respectueux, d’écouter réellement. La bienveillance commence par la qualité de sa présence.
Comment cette valeur se manifeste dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
L’assistant·e s’efforce d’installer un climat collaboratif, de fluidifier les échanges, de prévenir les tensions et de favoriser la coopération.
Cette posture devient un vecteur de cohésion et fait de votre culture d’entreprise sur le papier une réalité au-delà des mots. Une notion qui s’inscrit dans la transformation du travail et du monde du travail.
Ainsi, à l’échelle du métier, la bienveillance porte une culture professionnelle fondée sur la confiance, la responsabilité et la considération mutuelle. Elle devient alors un levier d’attractivité et de performance durable.
Phrase manifeste
Formulation marquante :
« La bienveillance éclaire nos interactions et construit la confiance qui fait avancer les équipes. »
En attendant la lettre C, relisez le billet de Josette Dubost sur le sujet
Et comparez le à la récente chronique de Julia de Funès sur le sujet
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C comme Communication
La communication est la colonne vertébrale du métier : elle structure l’information, crée du lien, éclaire les décisions et soutient l’efficacité collective. Communiquer, c’est orienter, rendre lisible, faire circuler ce qui permet d’agir.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix, sa posture, il s’agit d’exprimer clairement, de reformuler, de synthétiser, de transmettre au bon moment et à la bonne personne.
C’est la capacité à rendre simple le complexe et à maintenir la qualité des échanges, même sous pression.
Comment cette compétence se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
L’assistant·e devient un repère dans la circulation de l’information : messages clarifiés, attentes alignées, priorités partagées.
Il ou elle contribue à réduire les malentendus, à aligner les acteurs, à fluidifier les interactions, faisant de la communication un catalyseur de coopération.
Cette notion s’inscrit dans la transformation du travail et dans l’évolution des modes de collaboration.
Ainsi, à l’échelle du métier, la communication renforce la visibilité de la profession, accompagne les transformations internes, soutient les stratégies et contribue à une culture organisationnelle cohérente et ouverte. Elle devient un levier d’influence et de professionnalisation durable.
Formulation marquante :
« Communiquer, c’est créer des ponts : entre les idées, entre les personnes, entre l’intention et l’action. »
En attendant la lettre D, quelle pratique de communication fait selon vous
la plus grande différence dans votre quotidien professionnel ?
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D comme Disponibilité
La disponibilité va bien au-delà du temps consacré aux autres : c’est une qualité de présence, une attention portée à ce qui compte, une capacité à accueillir, orienter et soutenir sans s’effacer. Elle crée un espace de confiance où chacun peut s’appuyer pour avancer.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix, sa posture, il s’agit de gérer son énergie, de poser des limites claires, d’être pleinement présent·e lorsque la situation l’exige.
La disponibilité consiste à être là au bon moment, avec justesse, sans se disperser, ni se surcharger.
Comment cette valeur se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
La disponibilité devient un appui essentiel : accueil des demandes, compréhension rapide des enjeux, orientation vers les bons interlocuteurs, coordination fluide des actions.
C’est une présence structurante qui accompagne les priorités, sécurise les rythmes de travail et soutient la dynamique collective.
Cette notion s’inscrit dans la transformation du métier et dans l’évolution des modes d’organisation.
Ainsi, à l’échelle du métier, la disponibilité incarne la capacité de la profession à rester connecté·e aux réalités du terrain, à percevoir les signaux faibles, à faire circuler l’information utile et à contribuer à une culture de service maîtrisée.
Elle devient un marqueur de professionnalisme et d’impact.
Formulation marquante :
« Être disponible, c’est offrir une présence qui éclaire, soutient et rend possible l’avancée des autres sans jamais renoncer à son propre équilibre. »
En attendant la lettre E, qu’est-ce que « être disponible » signifie pour vous
dans votre rôle ou dans votre organisation ?
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E comme Éthique professionnelle
L’éthique professionnelle est le socle invisible qui guide les décisions, oriente les comportements et garantit la qualité de la contribution. Elle offre un cadre intérieur solide, fait de discernement, de responsabilité et d’intégrité, qui permet d’agir avec justesse quelles que soient les situations.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix, sa posture, il s’agit d’incarner la confidentialité, la loyauté, la rigueur, la transparence dans les échanges, la maîtrise des informations sensibles.
C’est la capacité à agir selon une ligne claire, même lorsque personne ne regarde.
Comment cette valeur se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
Dans un environnement sain, l’éthique renforce la confiance, clarifie les attentes, sécurise les échanges et protège les interactions.
Elle contribue à un environnement où chacun peut s’exprimer, collaborer et avancer sans crainte d’ambiguïté ou de défaillance.
La posture éthique de l’assistant·e est une garantie de fiabilité pour tout l’écosystème.
Cette notion s’inscrit dans l’évolution du métier et dans les transformations du monde du travail.
Ainsi, à l’échelle du métier, l’éthique professionnelle affirme la valeur stratégique de la fonction dans la maîtrise de l’information, le respect des normes, la relation à la gouvernance et la continuité des pratiques.
Elle est un pilier de crédibilité, de valorisation et de légitimité.
Formulation marquante :
« L’éthique professionnelle éclaire les décisions, solidifie la confiance et donne au métier sa pleine hauteur. »
En attendant la lettre F, quelle règle éthique structure le plus fortement
votre pratique professionnelle ?
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F comme Fiabilité
La fiabilité est l’une des signatures les plus reconnues du métier. Elle se construit dans la constance, la crédibilité, la précision et le soin apporté à chaque action. Elle rassure, sécurise, renforce les liens et permet à chacun d’avancer en confiance.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix, sa posture, il s’agit d’être constant·e dans la qualité, rigoureux·se dans les vérifications, attentif·ve aux détails, clair·e dans ses engagements et cohérent·e dans ses actions.
Être fiable, c’est être quelqu’un sur qui l’on peut compter, quoi qu’il arrive.
Comment cette valeur se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
La fiabilité devient un repère.
Les délais sont tenus, les informations sont exactes, les engagements respectés, les alertes données à temps.
Elle contribue à stabiliser les processus, à fluidifier les interactions, à réduire les incertitudes.
C’est une force tranquille qui solidifie les collaborations et renforce l’efficacité collective.
Cette notion s’inscrit dans l’évolution du métier et dans les attentes croissantes vis-à-vis des fonctions support.
Ainsi, à l’échelle du métier, la fiabilité incarne un standard professionnel qui conditionne la confiance, légitime la contribution stratégique et confère à la fonction un rôle essentiel dans la continuité opérationnelle.
Elle devient un critère majeur de reconnaissance et de valeur ajoutée.
Formulation marquante :
« La fiabilité est la preuve silencieuse de l’expertise : elle se voit dans les résultats et se ressent dans la confiance qu’elle inspire. »
G comme Garantie de service
Septième clé de notre « Abécédaire de l’Avent FFMAS : 24 savoirs-clés pour rayonner dans son métier, de A à Z ».
La garantie de service représente l’engagement pris envers l’organisation et ses acteurs : assurer une qualité constante, une continuité dans l’action, une fiabilité mesurable, quels que soient les contextes.
C’est une promesse tenue, un socle opérationnel qui rend possible le travail de tous les autres.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix, sa posture, il s’agit de définir des standards personnels, de structurer ses méthodes, de clarifier ses priorités, de sécuriser ses échéances.
Garantir le service, c’est préserver une cohérence dans la manière de faire, même en cas d’imprévu.
Comment cette notion se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
Elle se traduit par un cadre lisible : des processus fiables, des délais réalistes, une information qualifiée, des points de vigilance identifiés.
L’assistant·e devient un pilier sur lequel s’appuyer, capable de prévenir les risques, d’anticiper les ruptures, d’assurer la continuité en toutes circonstances.
Cette garantie favorise la fluidité, soutient la performance et renforce la confiance collective.
Cette notion s’inscrit dans les attentes accrues envers les fonctions support et dans la professionnalisation constante du rôle.
Ainsi, à l’échelle du métier, la garantie de service affirme une véritable culture de l’engagement : respect des normes, qualité de suivi, conformité, maîtrise des outils et contribution à la chaîne de valeur.
Elle devient un repère stratégique qui positionne les assistant·es comme acteurs clés de la fiabilité organisationnelle.
Formulation marquante :
« Garantir le service, c’est offrir à l’organisation un point d’appui sûr, constant et exigeant, même quand tout bouge autour. »
En attendant la lettre H, qu’est-ce qui incarne selon vous la meilleure expression
de la garantie de service dans votre fonction ?
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H comme Humanité
L’humanité est le fil discret qui relie toutes les compétences du métier.
Elle se manifeste dans la manière d’accueillir, d’écouter, de reconnaître les personnes dans leur singularité, leurs besoins, leurs modes de fonctionnement.
C’est la capacité à rester attentif, à percevoir ce qui ne se dit pas, à faire place aux émotions sans perdre le cap professionnel.
Dans le quotidien de l’assistant·e, l’humanité prend la forme d’un rapport authentique à l’autre : disponibilité sincère, présence réelle, respect du rythme et des contraintes de chacun.
Elle passe par un langage inclusif, une communication non violente, une sensibilité aux micro-injustices qui peuvent altérer la coopération.
Elle invite à questionner ses automatismes, à ajuster sa posture, à créer des espaces où chacun puisse contribuer pleinement.
Comment cette valeur s’exprime-t-elle dans la relation aux équipes, au manager, aux partenaires ?
Par une vigilance constante à l’équité dans la circulation de l’information, à l’attention portée aux voix moins audibles, à l’inclusion dans les projets et les moments de travail.
L’assistant·e devient un repère relationnel : celle ou celui qui apaise, relie, fluidifie, qui favorise la compréhension mutuelle et la confiance.
Cette humanité crée un environnement plus sûr, plus coopératif, plus juste.
En élargissant à la profession, l’humanité s’inscrit pleinement dans les enjeux EDI (Égalité, Diversité, Inclusion) qui traversent aujourd’hui les organisations :
- promouvoir des pratiques respectueuses,
- encourager la diversité des profils,
- contribuer à une culture où chacun trouve sa place et peut s’exprimer sans crainte,
- soutenir les dynamiques collectives qui valorisent les différences au lieu de les lisser.
Cette valeur n’adoucit pas le métier : elle le renforce.
Elle donne du sens, nourrit la qualité relationnelle, et façonne un cadre de travail plus durable.
Formulation marquante :
« Cultiver l’humanité, c’est offrir à chaque interaction la possibilité d’être juste, accueillante et profondément respectueuse. »
En attendant la lettre I, quelles pratiques incarnent le mieux l’humanité dans votre fonction ?
Quels gestes simples changent tout dans votre quotidien ?
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I comme Intégrité
L’intégrité représente le socle intérieur sur lequel repose toute action professionnelle : une cohérence entre ce que l’on pense, ce que l’on dit et ce que l’on fait.
Elle fonde la crédibilité, nourrit la confiance et garantit la solidité de la collaboration.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix, l’intégrité se manifeste dans la manière de prendre position, de gérer les informations sensibles, de défendre la vérité opérationnelle, de rester aligné·e face aux situations délicates.
C’est la capacité à tenir son cap, à respecter ses engagements, à agir avec transparence même lorsque la facilité suggère un autre chemin.
Comment cette valeur s’exprime-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux acteurs internes ?
L’intégrité offre un climat clair et sain : des échanges francs, des intentions explicites, une loyauté assumée.
Cela crée un espace où les décisions se prennent sur des bases solides, où chacun peut compter sur la parole donnée, où les assistants deviennent des référents fiables pour éclairer, sécuriser et équiper la décision.
Cette valeur s’inscrit dans les attentes fortes d’éthique, de conformité et de responsabilité présentes dans l’ensemble des organisations.
Ainsi, à l’échelle du métier, l’intégrité participe directement à la réputation professionnelle, à la reconnaissance du rôle et à la qualité durable des relations de travail.
Elle incarne un repère stable dans un environnement mouvant : une présence qui rassure par sa constance.
Formulation marquante :
« L’intégrité, c’est rester droit(e), même lorsque le contexte se courbe. »
En attendant la lettre J, à votre avis, quels gestes quotidiens illustrent le mieux
l’intégrité dans votre fonction ?
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J comme Justesse
La justesse est l’art d’adapter son action, son ton, son geste ou sa décision au contexte.
C’est une finesse d’analyse et de posture qui permet d’agir ni trop, ni trop peu : juste ce qu’il faut, au moment où il faut. Elle soutient l’équilibre, clarifie les relations et renforce l’efficacité collective.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, la justesse consiste à identifier ce qui est vraiment important, à doser son implication, à ajuster sa communication, à trouver la bonne distance professionnelle.
C’est savoir quand intervenir, quand laisser de l’espace, quand accélérer ou temporiser.
Comment cette valeur se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
La justesse affine la collaboration : elle rend les messages plus pertinents, les interactions plus fluides, les arbitrages plus efficaces.
L’assistant·e devient un soutien calibré, capable d’observer, d’analyser, de comprendre les nuances avant d’agir.
Cette qualité crée de la confiance, évite les malentendus et oriente les équipes dans la bonne direction.
Cette notion s’inscrit dans les transformations du monde du travail, où la complexité des interactions et la diversité des situations exigent une posture subtile et adaptable.
Ainsi, à l’échelle du métier, la justesse renforce la dimension stratégique de la fonction : discernement, compréhension fine du contexte, capacité à s’ajuster en continu.
Elle devient une compétence d’influence, essentielle à la crédibilité et à la valeur ajoutée du rôle.
Formulation marquante :
« La justesse, c’est l’équilibre entre discernement, action et nuance : le geste à faire sans jamais forcer. »
En attendant la lettre L, pour vous, dans votre pratique
où la justesse vous semble-t-elle la plus décisive ?
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L comme Lien
Le lien n’est pas un geste spontané : c’est une intention.
C’est la capacité à rassembler, relier, comprendre les dynamiques humaines et créer des passerelles qui rendent l’organisation plus fluide, plus vivante, plus cohérente.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, il s’agit d’écouter, de percevoir les besoins non exprimés, de relier les informations et les personnes.
Le lien devient un moteur de clarté et de coordination.
Comment cette valeur se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
Le lien permet d’harmoniser les relations, de rendre visibles les enjeux, de faciliter la coopération.
L’assistant·e agit comme un point d’ancrage : quelqu’un qui transmet, qui contextualise, qui donne du sens.
La qualité du lien crée la qualité du collectif.
Cette notion s’inscrit pleinement dans les transformations du travail : éclatement des équipes, travail hybride, intensification des flux d’information.
Ainsi, à l’échelle du métier, créer du lien devient un acte stratégique.
C’est participer à une culture de collaboration durable, où chaque acteur trouve sa place et comprend sa contribution.
Formulation marquante :
« Le lien est l’énergie qui relie les personnes, les idées et les actions pour faire avancer l’organisation. »
Et pour vous, quel lien professionnel a transformé votre manière de travailler ?
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M comme Management
La délégation du management portée par l’assistant·e n’est pas une question de hiérarchie : c’est une manière d’exercer une influence constructive et de prendre en charge ce qui permet au collectif d’avancer.
C’est sécuriser, structurer, coordonner, transformer des intentions en actions.
C’est incarner, au quotidien, une délégation managériale qui renforce la fluidité et la performance.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, il s’agit de décider, prioriser, organiser, arbitrer quand cela s’impose.
Le management devient alors une présence stable : un repère, un cadre, une dynamique.
Comment cette posture s’exprime-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
L’assistant·e soutient la dynamique collective en incarnant la continuité opérationnelle : relais d’information, cadre partagé, transmission claire, synchronisation des acteurs, coordination fluide.
Il ou elle devient l’interface qui transforme l’intention managériale en actions concrètes.
Ce management partagé nourrit la confiance, renforce l’autonomie et favorise une coopération durable.
Cette notion s’inscrit dans les évolutions du métier : montée en responsabilités, hybridation des rôles, technicisation du pilotage.
À l’échelle de la profession, incarner la délégation de management affirme une contribution stratégique : celle d’un métier qui permet au management de se concentrer sur l’essentiel, tout en garantissant stabilité et performance.
Formulation marquante :
« Incarner la délégation de management, c’est transformer un mouvement en force collective. »
Et pour vous, quelles dimensions managériales faites-vous vivre dans votre pratique ?
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N comme Neutralité
La neutralité n’est ni distance froide ni effacement : c’est une posture active.
Elle permet d’accueillir les situations avec discernement, de préserver l’équilibre des relations et de soutenir la qualité des décisions sans se laisser happer par les tensions ou les enjeux personnels.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, la neutralité consiste à rester centré(e), à écouter sans juger, à analyser les faits avec recul, à réguler ses émotions.
C’est la capacité à garder une juste distance pour agir avec lucidité.
Comment cette posture se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
La neutralité crée un espace sécurisant : elle apaise les échanges, facilite la médiation, soutient des arbitrages équitables.
L’assistant·e devient un point de stabilité relationnelle, capable de faire circuler l’information sans la déformer, de relier les points de vue sans les opposer.
Cette posture renforce la confiance et protège la qualité du collectif.
Cette notion s’inscrit pleinement dans la complexité croissante des organisations : multiplicité des parties prenantes, intensité des interactions, accélération des décisions.
À l’échelle du métier, la neutralité affirme une compétence stratégique : celle de garantir l’équilibre, la justesse et la fiabilité des relations professionnelles.
Formulation marquante :
« La neutralité, c’est offrir un espace clair et stable pour que les décisions puissent émerger sereinement. »
Et pour vous, dans quelles situations la neutralité est-elle la plus précieuse dans votre rôle ?
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O comme Organisation
L’organisation est bien plus qu’une capacité à planifier ou à structurer : c’est un art d’ordonner le temps, les priorités et les interactions pour rendre le travail possible, lisible et durable.
Dans le rôle de l’assistant·e, elle se déploie à deux niveaux complémentaires : personnel et collectif.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, l’organisation personnelle repose sur la gestion du temps, l’anticipation, la priorisation, la structuration de ses méthodes et de ses outils.
Elle lui permet de tenir le rythme, de sécuriser ses échéances et de préserver son énergie.
C’est une discipline intérieure qui soutient la fiabilité et la qualité de l’action.
Comment cette compétence se prolonge-t-elle au niveau collectif, auprès de l’équipe, du manager, des partenaires internes ?
L’organisation collective consiste à orchestrer les agendas, coordonner les flux d’information, synchroniser les acteurs, structurer les processus partagés.
L’assistant·e devient alors discrètement garant(e) de la cohérence globale et de la continuité opérationnelle.
Cette organisation rend le travail fluide, limite les frictions et favorise la performance collective.
Cette notion s’inscrit au cœur des transformations du métier, où la complexité organisationnelle et la multiplicité des interactions exigent une structuration toujours plus fine.
Ainsi, à l’échelle du métier, l’organisation n’est plus seulement une compétence attendue : elle est une contribution stratégique.
Elle permet aux organisations de gagner en lisibilité, en efficacité et en sérénité.
Formulation marquante :
« Organiser, c’est créer les conditions pour que chacun puisse agir avec clarté, efficacité et confiance. »
Et pour vous, quelle différence faites-vous entre organisation personnelle
et organisation collective dans votre pratique ?
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P comme Priorisation
La priorisation n’est pas un simple tri de tâches : c’est un acte de discernement.
Elle consiste à faire des choix conscients, alignés avec les enjeux, les délais et les ressources, afin de concentrer l’énergie là où elle est réellement utile.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, la priorisation implique de distinguer l’urgent de l’important, d’anticiper, de renoncer parfois, et d’assumer ses arbitrages.
C’est la capacité à donner du sens à l’action, plutôt que de subir l’accumulation.
Comment cette compétence se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
La priorisation devient un levier collectif lorsqu’elle est partagée, expliquée et ajustée.
L’assistant·e contribue à clarifier les urgences, à rendre visibles les dépendances, à sécuriser les délais et à soutenir les décisions.
Il ou elle aide ainsi le collectif à avancer avec cohérence, sans dispersion ni surcharge inutile.
Cette notion s’inscrit dans un contexte professionnel marqué par la multiplicité des sollicitations et l’accélération des rythmes.
À l’échelle du métier, la priorisation affirme une posture stratégique : celle d’un rôle capable de lire les enjeux, d’anticiper les impacts et de contribuer à une allocation plus juste des ressources.
Elle devient un facteur clé de performance durable et de qualité de vie au travail.
Formulation marquante :
« Prioriser, c’est choisir ce qui compte vraiment pour agir avec justesse et efficacité. »
Et pour vous, sur quels critères repose aujourd’hui votre manière de prioriser ?
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Q comme Questionnement
Le questionnement est une posture active qui permet de comprendre avant d’agir, d’éclairer avant de décider.
Il ouvre des espaces de réflexion, révèle les enjeux implicites et évite les réponses automatiques.
Questionner, c’est refuser la précipitation au profit de la justesse.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, le questionnement consiste à clarifier les demandes, à explorer le contexte, à vérifier les priorités et à formuler les bonnes questions, au bon moment.
C’est une compétence clé pour sécuriser l’action et gagner en efficacité.
Comment cette posture se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
Le questionnement favorise des échanges plus riches et des décisions plus solides.
L’assistant·e contribue à faire émerger les non-dits, à aligner les attentes, à ajuster les objectifs.
Par ses questions, il ou elle devient un facilitateur de compréhension et un soutien à la prise de décision.
Cette notion s’inscrit dans un environnement professionnel de plus en plus complexe, où les réponses toutes faites ne suffisent plus.
À l’échelle du métier, le questionnement affirme une posture d’expertise : celle d’un rôle qui ne se contente pas d’exécuter, mais qui comprend, analyse et co-construit.
Il participe à la reconnaissance de la valeur intellectuelle et stratégique de la fonction.
Formulation marquante :
« Questionner, c’est créer les conditions d’une action plus juste et plus consciente. »
Et pour vous, quelle question change le plus souvent la trajectoire d’une situation ?
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R comme Responsabilité
La responsabilité est une posture d’engagement conscient.
Elle consiste à assumer ses actions, ses choix et leurs impacts, tout en contribuant activement au bon fonctionnement du collectif.
C’est une manière d’habiter son rôle avec maturité, fiabilité et sens.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, la responsabilité se traduit par la prise en charge, l’anticipation, le respect des engagements et la capacité à rendre compte.
C’est accepter d’être un point de référence, de porter une mission jusqu’au bout et d’en garantir la qualité.
Comment cette posture se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
La responsabilité renforce la confiance et clarifie les rôles.
L’assistant·e devient un acteur sur lequel on peut s’appuyer : il ou elle sécurise les processus, alerte en cas de risque, soutient la prise de décision et accompagne les actions dans la durée.
Cette posture favorise l’autonomie collective et la fluidité des collaborations.
Cette notion s’inscrit dans un contexte professionnel où les fonctions support sont de plus en plus attendues sur leur capacité à contribuer activement à la performance et à la gouvernance.
À l’échelle du métier, la responsabilité affirme une « professionnalité » forte : celle d’un rôle engagé, conscient de ses leviers d’action et de son impact sur l’organisation.
Elle participe pleinement à la reconnaissance et à la légitimité de la fonction.
Formulation marquante :
« La responsabilité, c’est agir en conscience de son rôle et de l’impact que l’on crée autour de soi. »
Et pour vous, à quel moment ressentez-vous le plus fortement votre responsabilité professionnelle ?
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S comme Secrétariat
Le secrétariat n’est ni un vestige ni une simple fonction d’exécution : c’est un socle professionnel, une culture du service, une expertise structurante.
Le mot secrétaire porte une histoire, des savoir-faire éprouvés et une capacité unique à faire fonctionner les organisations au quotidien.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans ses pratiques, ses choix et sa posture, il s’agit de maîtriser l’organisation, la rigueur, la confidentialité, la continuité et la qualité du service rendu.
C’est une professionnalité fondée sur la fiabilité, la précision et la conscience du rôle joué dans l’ensemble du système.
Comment cette fonction se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
Le secrétariat est un point d’entrée, de régulation et de coordination.
Il structure l’information, sécurise les échanges, soutient les décisions et garantit la fluidité des processus.
Le ou la secrétaire agit comme un repère stable, capable de donner du cadre, du rythme et de la lisibilité à l’action collective.
Cette notion s’inscrit dans l’évolution des métiers du support, souvent rebaptisés, enrichis, transformés — sans jamais perdre leur ADN.
À l’échelle du métier, le secrétariat incarne une base fondatrice : celle sur laquelle se sont construits les rôles d’assistant·e, d’office manager, de support stratégique.
Le reconnaître, c’est reconnaître la valeur d’un métier exigeant, essentiel et profondément moderne dans sa finalité.
Formulation marquante :
« Le secrétariat est une force structurante : il donne forme, continuité et sens au travail collectif. »
Et pour vous, qu’est-ce que le mot “secrétariat” évoque aujourd’hui dans votre réalité professionnelle ?
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T comme Transmission
La transmission est ce qui permet au savoir de durer, aux pratiques de s’affiner et aux métiers de se renforcer.
Elle ne se limite pas au passage d’informations : elle engage une responsabilité, une intention et une volonté de faire grandir.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, la transmission consiste à partager ses méthodes, expliciter ses raisonnements, documenter ses actions, accompagner les relais.
C’est accepter que la valeur ne réside pas dans la rétention, mais dans la circulation.
Comment cette posture se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
La transmission structure le collectif : elle sécurise les passations, facilite l’intégration, renforce l’autonomie et la continuité.
L’assistant·e devient un passeur de compétences, un garant de la mémoire professionnelle et un soutien à l’apprentissage collectif.
Cette posture crée de la robustesse organisationnelle.
Cette notion s’inscrit dans un monde du travail marqué par la mobilité, l’évolution rapide des outils et la transformation des rôles.
À l’échelle du métier, la transmission affirme une profession consciente de son héritage et tournée vers l’avenir.
Elle valorise l’expérience, renforce la reconnaissance des savoir-faire et participe à la structuration durable de la filière.
Formulation marquante :
« Transmettre, c’est permettre au métier de continuer à vivre, à évoluer et à se renforcer. »
Et pour vous, qu’avez-vous appris grâce à une transmission marquante dans votre parcours ?
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U comme Unité
L’unité n’est pas l’uniformité : c’est la capacité à rassembler des différences autour d’un cap commun.
Elle donne au collectif sa cohérence, sa solidité et sa capacité à avancer ensemble, malgré la diversité des rôles, des profils et des contextes.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, l’unité se manifeste par la recherche d’alignement, la cohérence dans les actions et la volonté de relier plutôt que de fragmenter.
C’est agir en conscience de l’ensemble, au-delà de son périmètre immédiat.
Comment cette valeur se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
L’assistant·e contribue à créer des ponts, à harmoniser les pratiques, à faciliter la coopération et à soutenir un cadre partagé.
Il ou elle devient un acteur de la cohésion, capable de donner du sens collectif aux actions individuelles.
L’unité renforce la confiance et stabilise les dynamiques de travail.
Cette notion s’inscrit dans un monde professionnel marqué par la transversalité, le travail hybride et la multiplication des interfaces.
À l’échelle du métier, l’unité porte une vision fédératrice : celle d’une profession diverse dans ses intitulés, mais unie par des valeurs, des compétences et une contribution essentielle aux organisations.
Elle devient un levier de reconnaissance collective.
Formulation marquante :
« L’unité, c’est transformer la diversité des rôles en force collective. »
Et pour vous, comment l’unité se construit-elle au quotidien dans votre environnement de travail ?
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V comme Valeur professionnelle
La valeur professionnelle n’est pas seulement ce que l’on fait : c’est ce que l’on apporte, ce que l’on incarne et ce que l’on rend possible.
Elle se construit dans la durée, à la croisée des compétences, de la posture et du sens donné à l’action.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, ses pratiques, ses choix et sa posture, la valeur professionnelle se manifeste par la maîtrise de son rôle, la qualité de ses contributions, la capacité à prendre des initiatives justes et à assumer ses responsabilités.
C’est reconnaître son impact et agir en cohérence avec ce que l’on représente.
Comment cette valeur s’exprime-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
La valeur professionnelle devient visible lorsqu’elle soutient le collectif : fiabilité, discernement, coordination, anticipation, soutien à la décision.
L’assistant·e n’est plus seulement un appui opérationnel, mais un acteur reconnu pour ce qu’il ou elle permet aux autres de réaliser.
Cette valeur renforce la confiance et légitime la place occupée.
Cette notion s’inscrit dans l’évolution profonde des métiers du support, de plus en plus attendus sur leur contribution stratégique et leur capacité à créer de la valeur durable.
À l’échelle du métier, la valeur professionnelle est un levier de reconnaissance collective.
Elle permet de dépasser les intitulés, de fédérer les pratiques et d’affirmer une identité professionnelle forte, lisible et assumée.
Formulation marquante :
« La valeur professionnelle, c’est ce qui demeure quand l’action est juste, utile et reconnue. »
Et pour vous, à quoi reconnaissez-vous votre valeur professionnelle aujourd’hui ?
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W / X comme Web & eXpertise
Le web, l’expertise…
Ces mots racontent un métier profondément ancré dans les flux, les outils et les systèmes — mais surtout dans la capacité à les comprendre, les structurer et les rendre utiles.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, cela se traduit par la maîtrise des environnements numériques, des outils collaboratifs, des workflows et des données.
C’est savoir naviguer entre plateformes, fichiers, formats (XLS, XML…), tout en gardant une vision claire et structurée.
L’expertise devient ici une compétence vivante, évolutive, connectée.
Comment ces notions s’expriment-elles dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
L’assistant·e agit comme un nœud de circulation : il ou elle sécurise les flux d’information, fluidifie les processus, fiabilise les supports et accompagne les usages.
L’expertise numérique n’est pas seulement technique : elle permet de gagner du temps, de réduire les frictions et de soutenir la performance collective.
À l’échelle du métier, Web et eXpertise affirment une profession pleinement inscrite dans son époque.
Une profession capable d’articuler technicité, compréhension des systèmes et intelligence humaine.
Ici, l’expertise devient un levier de crédibilité et de reconnaissance.
Formulation marquante :
« Maîtriser les outils, c’est transformer la complexité numérique en efficacité collective. »
Et vous, quel outil ou workflow incarne le mieux votre expertise aujourd’hui ?
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Y / Z comme Yield & Zen
Yield et Zen parlent d’un même équilibre : celui entre l’engagement et la justesse, entre l’effort consenti et la sérénité préservée.
Ils incarnent une posture professionnelle mature, consciente de sa valeur et de ses limites.
Au niveau individuel, pour l’assistant·e dans son quotidien, yield signifie accepter d’ajuster, de céder parfois, de s’adapter sans se renier.
C’est savoir composer avec les contraintes, faire évoluer ses réponses, trouver des chemins alternatifs.
Le zen, lui, permet de garder le calme intérieur, de réguler la pression et de préserver sa lucidité.
Ensemble, ils soutiennent une action durable.
Comment cette posture se manifeste-t-elle dans la relation à l’équipe, au manager, aux partenaires internes ?
Yield et zen permettent de fluidifier les relations : savoir temporiser, désamorcer, accompagner le mouvement sans rigidité.
L’assistant·e devient un facteur d’équilibre, capable d’absorber les tensions sans les amplifier, de maintenir le cap tout en respectant le rythme collectif.
Cette posture apaise, sécurise et stabilise les dynamiques de travail.
À l’échelle du métier, yield et zen dessinent une profession tournée vers la durabilité.
Ils rappellent que la performance ne se mesure pas seulement à l’intensité de l’engagement, mais à la capacité à durer, à s’adapter et à rester aligné·e.
C’est ainsi que le métier rayonne, avec justesse et profondeur.
Formulation marquante :
« Yield et zen : s’adapter sans s’effacer, s’engager sans s’épuiser. »
Cet abécédaire s’achève aujourd’hui comme un cadeau collectif : 24 savoirs-clés pour dire un métier vivant, engagé et essentiel.
Nous vous souhaitons un bon réveillon, de belles fêtes et du sens.
Et vous, quelle posture vous aide aujourd’hui à conjuguer engagement et sérénité ?
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